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OPINION: The case for French classes

Cette semaine, vos enfants retournent à l’école. La plupart d’entre eux, sauf ceux qui vont à l’école Notre-Dame-des-Vertus à Zenon Park, n’auront pas d’instruction en français cette année. On trouve que les cours de français prennent trop de temps.
OPINION: The case for French classes

Cette semaine, vos enfants retournent à l’école. La plupart d’entre eux, sauf ceux qui vont à l’école Notre-Dame-des-Vertus à Zenon Park, n’auront pas d’instruction en français cette année.

On trouve que les cours de français prennent trop de temps. Ils enlèvent le temps d’instruction aux cours d’anglais, qu’on juge plus important.

À part ça, les parents ne peuvent pas aider leurs enfants avec les devoirs. Puis, c’est parfois difficile de trouver un enseignant qualifié qui peut prendre la place de professeurs qui prennent la retraite ou déménagent.

Parfois, c’est plus facile d’éliminer les choses inconvénients.

Je suis içi pour vous dire que les cours de français valent toujours la peine. Ma deuxième langue m’a ouvert des portes d’emploi. Il m’a donné la confiance d’apprendre une troisième langue. Je peux communiquer avec ma famille francophone. J’ai un lien avec ma culture et mon histoire.

Je suis chanceuse que mes parents ont choisi de m’instruire en français. Et puis, ce n’était pas chose facile. Ils ont choisit une école plus petite, avec moins de ressources, plus loin de la ville.

Ils ne l’ont jamais regretté.

 

Your children go back to school this week. Most of them, unless they go to school in Zenon Park, will receive no instruction in French.

French classes have been cut because they take too much time away from English classes. Homework help can be a challenge when parents don’t speak French. Finding a qualified teacher is a significant obstacle.

French classes sometimes seem like more of an inconvenience than an advantage.

I’m telling you that a second language is always worth it. My second language opened doors to job opportunities and gave me the confidence to learn another language. I can speak with my French Canadian family and learn about my culture and history.

I’m lucky that my parents chose to send me to a French school. It wasn’t easy: the school was smaller, poorer, further from the city.

But they never regretted it.

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